Song: Vénus callipyge Artist: Georges Brassens Album: Les Copains d'abord Year: 1964 Tabber: beranger80@hotmail.com Intro (0:00)

Que jamais l'art abstrai^Ft, q^F7ui sévit mainte^Bbnant, ^Gm7N'enlève ^C7à vos ^Fat^Dmtraits ^Gm7ce v^C7olume^F étonnant. ^FAu temps où les faux c^F7uls sont la major^Bbité, ^Gm7Gloire à ^C7celui qui^F d^Dmit tout^Gm7e la^C7 vér^Fité!

Verse (0:20)

Votre dos perd son n^G7om avec si bonne g^Arâce, Q^Amu'on ne peut s'empêc^Dher de ^Amlui donner rais^Don. Q^G7ue ne suis-je, madame, un poète de^A race, Pour d^Fire Ã^G7 sa lou^Cang^A7e un ^Dmimmo^Grtel bl^Eason, Pour d^Fire Ã^G7 sa lo^Cuan^A7ge un^Dm imm^G7ortel b^Clason.

Verse (0:43)

^G7En le voyant passer, j'en eus la chair de po^Aule, E^Amnfin, je vins au mon^Dde et, de^Ampuis, je lui vo^Due U^G7n culte véritable et, quand je perds^A aux boules, En emb^Frassan^G7t Fanny, ^Cje ^A7ne pe^Dmnse ^Gqu'à^E vous, En emb^Frassan^G7t Fanny, ^Cje ^A7ne pe^Dmnse q^G7u'à ^Cvous.

Verse (1:06)

^G7Pour obtenir, madame, un galbe de cet o^Ardre, V^Amous devez torturer^D les g^Amens de votre en^Dtour, D^G7onner aux couturiers bien du fil à ^Aretordre, Et vou^Fs deve^G7z creve^Cr v^A7otre ^Dmdame^G d'atou^Et, Et vou^Fs deve^G7z crever ^Cvot^A7re da^Dmme d^G7'atou^Ct.

Verse (1:29)

^G7C'est le duc de Bordeaux qui s'en va, t^Aête basse, C^Amar il ressemble au mi^Den comme ^Amdeux gouttes d'^Deau, S^G7'il ressemblait au vôtre on dirait, quand i^Al passe, "^FC'est ^G7un joli g^Car?^A7?§on^Dm que^G le duc^E de Bordeaux!", "^FC'est ^G7un joli g^Car?^A7?§on^Dm que^G7 le duc ^Cde Bordeaux!".

Verse (1:51)

^G7Ne faites aucun cas, des jaloux qui pro^Afessent Q^Amue vous avez plac^Dé vo^Amtre orgueil un peu^D bas, Q^G7ue vous présumez trop, en somme de v^Aos fesses, Et sur^Ftout, ^G7par faveu^Cr, ^A7ne vo^Dmus a^Gsseyez ^Epas! Et sur^Ftout, ^G7par faveu^Cr, ^A7ne vo^Dmus as^G7seyez pa^Cs!

Verse (2:14)

^G7Laissez-les raconter qu'en sortant de c^Aalèche L^Ama brise a fait vo^Dler v^Amotre robe et qu'on^D vit, E^G7crite dans un coeur transpercé d'une^A flèche, Cette ^Fexpres^G7sion triv^Cial^A7e : &^Dmquot^G;A Julo^Et pour la vie", Cette ^Fexpres^G7sion triv^Cial^A7e : &^Dmquot;^G7A Julot ^Cpour la vie".

Verse (2:37)

^G7Laissez-les dire encore qu'à la cour^A d'Angleterre, F^Amaisant la révér^Dence au^Amx souverains an^Dglois, V^G7ous êtes, patatras, tombée assise ?^A? terre, La loi^F de la^G7 pesanteu^Cr e^A7st du^Dmre, ^Gmais c'^Eest la loi, La loi^F de la^G7 pesanteu^Cr e^A7st du^Dmre, m^G7ais c'es^Ct la loi.

Verse (3:00)

^G7Nul ne peut aujourd'hui trépasser sans voir^A Naples, A^Am l'assaut des chefs-d'o^Deuvre i^Amls veulent tous co^Durir! M^G7es ambitions à moi sont bien plus ^Araisonnables: Voir v^Fotre a^G7cadémie,^C Ma^A7dame,^Dm et ^Gpuis mo^Eurir, Voir v^Fotre a^G7cadémie,^C Ma^A7dame,^Dm et p^G7uis mour^Cir.

Outro (3:23)

^FQue jamais l'art abstrait,^F7 qui sévit m^Bbaintenant, ^Gm7N'enlève^C7 à ^F vo ^Dms attrai ^Gm7ts ce v ^C7olum ^Fe étonnant. ^FAu temps où les faux cu^F7ls sont la ma^Bbjorité, ^Gm7Gloire ?^C7? c^Felu^Dmi qui di^Gm7t toute^C7 la ^Fvérité!

Georges Brassens - Venus callipyge