Thomas Fersen - Parfois au clair de lune

Apprena^Cnt que les gen^Edarmes recher^Amchaient un vag^Fabond, U^Cne brave da^Eme m'a ca^Amché sous son j^Gupon, Quelqu^Cefois je l'admets, j'ai co^Fuché sous un pont, Mais ^Gje n'avais encore jamais logé s^Cous ^G7un ju^Cpon. C^Comme sous ce jup^Eon il faisait d^Amoux, il faisait b^Fon, C^Comme sous ce jup^Eon il faisait n^Amoir comme du char^Gbon, C^Comme il faisait nuit, je ^Fme suis endormi, Je ^Gme suis endormi comme si j'éta^Cis dans ^G7un bon l^Cit.

Ma^F nuit s'est conclu par un rév^Geil au clair de lune E^Amn ne sachant plus dans quel pa^Dys, dans quelle commune... J^C'ai couché, je l'admets, parfo^Fis au clair de lu^D7ne, M^Cais je ne l'avais encore jamais ^Dmvu de^G7 ce vo^Clume. ^{E Am F}

Je s^Cuis dans le né^Eant, je ne rec^Amonnais pas la ch^Fambre, Ce p^Carfum d'océ^Eans mêlé à u^Amne pointe d'a^Gmbre, J'ai^C dormi, je l'adm^C7ets, pa^Frfois dans un f^Amossé, J'ai^G dormi, je l'admets, quelque fois sa^Cns m^G7e déch^Causser. A^Ci-je fait rel^Eâche chez les béd^Amouins, en Arab^Fie ? A^Ci-je fait rel^Eâche chez les apa^Amches, sous un ti^Gpi ? P^Carfois j'ai campé, j'ai dormi ^Fsur des canap^D7és, J'ai ^Gdormi, je l'admets, quelquefois sa^Cns ^G7me d^Césaper.

A^Fprès tout, je me plais dans ce ca^Gmpement de fortune. J^Am'vais poser des collets. J'ai vu ^Dun lapin dans les dunes. M^Ces autres résidences ne val^Faient pas un ra^D7dis. E^Ct de toute évidence ici je s^Dmuis a^G7u par^Cadis.