Stephan Eicher - Tu ne me dois rien

Je ne t'^Aentends pas très bie^En. Il y a ^Dsus2si longtemps. D'où m'^Aappelles-tu ? D'où vi^Eent Ce besoin^Dsus2 si pressant De m'é^Ecouter soudain ? Les po^Dsus2ules auraient-elles des de^Ants ? ^{E Dsus2}

Ma v^Aoix t'a-t-elle ma^Enquée Après b^Dsus2ientôt un an ? Ce ser^Aait une belle jour^Enée Et il n'y^Dsus2 en a pas tant. Je s^Eais me contenter De petite ^Dsus2choses, à pr?^A?sent. ^{E Dsus2}

On ente^F#mrre ce qui meurt. On garde^Bm7 les bons moments. J'a^Dsus2i eu quelque fois peur Que tu m'ou^Ablies vraiment. Tu ^Eas sur mon humeur Encore des ^Dsus2effets gêna^Ants ^{E Dsus2}

Mais tu ne me dois r^Eien. J'ai eu u^Dsus2n mal de chien A me f^Eaire à cette idée, A l'accep^Dsus2ter enfin. Est-ce qu'au ^F#mmoins tu m'en sais gré ? Chacun pours^Bm7uit son chemin Avec ^Dsus2ce qu'on lui a donné Moi toi, tu ne me dois r^Aien. ^{E Dsus2} Non rien^{A E Dsus2}

Tu ne ^Am'a pas déran^Egé. Je vis s^Dsus2eul pour l'instant Mais je ^Ane suis pas pres^Esé, Tu sais, j^Dsus2e prends mon temps. Tout e^Est si compliqué. Tout me par^Dsus2aît si diff^Aérent. ^{E Dsus2}

On ne ^Arefait pas sa ^Evie. On conti^Dsus2nue seulement. On dor^At moins bien l^Ea nuit. On éc^Dsus2oute patiemment, De la^E maison, les bruits, Du dehor^Dsus2s, l'effondremen^At. ^{E Dsus2}

Je vais ^F#mbien cela dit. Appelle-^Bm7moi plus souvent, Si tu ^Dsus2en as envie, Si tu a^As un moment Mais il n'^Ey a rien d'écrit Et rien ne t'y ^Dsus2oblige vraim^Aent. ^{E Dsus2}

Mais tu ne me dois r^Eien. J'ai eu u^Dsus2n mal de chien A me f^Eaire à cette idée, A l'accep^Dsus2ter enfin. Est-ce qu'au ^F#mmoins tu m'en sais gré ? Chacun pours^Bm7uit son chemin Avec ^Dsus2ce qu'on lui a donné Moi toi, tu ne me dois r^Aien. ^{E Dsus2} Non rien^{A E Dsus2}