Oldelaf - Les mains froides

C’était si ^G7beau la rue Monge sous la ^Cneige Et je mar^G7chais les deux mains dans les ^Cpoches Toutes trou^E7ées de mon pantalon ^Ambeige Pourquoi d’ail^E7leurs avais-je mis le plus ^Ammoche

Je t’ai croi^G7sée sans vraiment m’y at^Ctendre Et en même ^G7temps on avait rendez-^Cvous Tu as sou^E7ri et t’es venue me ^Amprendre Les mains que ^E7je planquais dans mon futal à ^Amtrous

Je me sou^Emviens que j’avais les mains ^Amfroides Je tremblo^Emtais et j’étais à la ^Amtraîne Tu ne de^G7vais pas les trouver si ^Cfroides Car malgré ^Emtout, tu les laissas dans les ^Amtiennes

On a mar^G7ché vers la rue des E^Ccoles On s’est ^G7posé tout au fond d’un bis^Ctro Je t’expo^E7sai une théorie ^Amfolle : Que par ce ^E7temps, c’est sympa un thé ^Amchaud

Toi tu souri^G7ais en plissant tes yeux ^Cnoirs Que je vo^G7yais même sans les regar^Cder Tu t’es le^E7vée, t’as payé au comp^Amtoir Puis t’es ve^E7nue par les mains me cher^Amcher

Je me sou^Emviens que j’avais les mains ^Amfroides Je tremblo^Emtais et j’étais à la ^Amtraîne Tu ne de^G7vais pas les trouver si ^Cfroides Car malgré ^Emtout, tu les laissas dans les ^Amtiennes

On est al^Amlé dans ta chambre au sixième J’avais pré^Fvu de te lire des poèmes T’as mis un ^G7vieux disque de Billy Paul Je me suis ^Ctu et j’ai lu les pa^E7roles

Il te res^Amtait quelques gouttes de Madère J’ai dit « Pas ^Ftrop », tu m’as servi un verre… Et au mo^G7ment où j’allais y goûter Tu m’as sou^Cri et tu ^E7m’as embra^Amssé

Je me sou^Emviens que j’avais les mains ^Amfroides Je tremblo^Emtais et je me sentais ^Amnul Tu ne de^G7vais pas les trouver si ^Cfroides Car malgré ^Emtout, tu les laissas sous ton ^Ampull

Tu m’as dit : « ^G7Gars, j’aime bien tes ma^Cnières » Et moi j’ai ^G7dit « Je connais un po^Cème » Tu m’as sou^E7ri, t’as éteint la lu^Ammière Dans mon o^E7reille, t’as glissé un : « je ^Amt’aime »

J’aurais dû ^G7dire un mot tendre et sym^Cpa Mais moi je ^G7t’ai juste dit rien du ^Ctout Puis douce^E7ment tu t’es collée à ^Ammoi Et pour le ^E7reste, ça n’appartient qu’à ^Amnous

Je me sou^Emviens que j’avais les mains ^Amfroides Je tremblo^Emtais mais je me sentais ^Ambien Tu ne de^G7vais pas les trouver si ^Cfroides Car malgré ^Emtout, tu les laissas sur tes ^Amseins