Michel Jonasz - Une seule journ

^Fmaj7J'ai de la terre sur mes chaussures,^Em7 de la boue collée Du f^Dm7roid j'ai gardé les gerçure^Cmaj7s et la peau brûlée Le ^Dm7vent m'a fait fermer les yeux, j'ai marché des lieues et des lieues Mais ^Cje n'ai rien trouvé

^Fmaj7La route fut longue et dure et me fi^Em7t mal aux pieds De l^Dm7a poussière sur ma figure s'^Cmaj7était incrustée Tr?^Dm7?buchant sur les racines, m'écorchant les jambes aux épines J'ai ^Ctraversé ^Dm7Le pays de long en large ^D(dim)Ma peine fut une lourde charge à ^Ctransporter

^AmUne seule journée passée sans^Em7/G elle est une souff^Fmaj7rance Et mon co^Em7eur pendu au bout d'une fic^Dm9elle se balance^{C Am}Un seul instant sans nouvelles ^Em7/Gd'elle me dimi^Fmaj7nue Car un se^Em7ul instant passé sans el^Dm9le est un insta^Cnt perdu

^FmEt le tempo des criquets m'accompagne Ver^Fms mon village ma compagne Un^Dbmaj7 vol de tourterelles s'él^C7oigne Et le tempo des ^Fmcriquets m'accompagne

^Fmaj7Je suis sur le chemin du retour et j^Em7'ai gambergé Je l^Dm7ui dirai mon amour, viens pr?^Cmaj7?s du verger Le ^Dm7ciel m'a ouvert les yeux J'ai ^Cmarché des lieues et des lieues ^D(dim)Mais je n'ai rien trou^Cvé Que^Dm7 de la pluie artificielle et des champignons mortels pour^C subsister ^Dm7Comprendre fut une lourde tâche ^D(dim)Maintenant je sais mes attaches s^Cont à ses côtés

^AmUne seule journée passée sans^Em7/G elle est une souff^Fmaj7rance Et mon co^Em7eur pendu au bout d'une fic^Dm9elle se balance^{C Am}Un seul instant sans nouvelles ^Em7/Gd'elle me dimi^Fmaj7nue Car un se^Em7ul instant passé sans el^Dm9le est un insta^Cnt perdu

^FmEt le tempo des criquets m'accompagne Ver^Fms mon village ma compagne Un^Dbmaj7 vol de tourterelles s'él^C7oigne Et le tempo des ^Fmcriquets m'accompagne Et le tempo des ^Fmcriquets m'accompagne...