Maxime Le Forestier - Lorphelin

^E7Sauf dans le ^Amcas fré^E7quent, hé^Amlas ^GOù ce sont ^Cde vrais ^G7dégueulass^Ces On ne de^Fvrait per^E7dre ja^Ammais Ses père et ^Dmère, bien^D#dim sûr, mais^{E7 G}À moins d'être^C un pe^G7tit ma^Clin Qui meurt a^Emvant d'être^D#dim orphe^E7lin ^EOu un in^Afortu^A7né bâ^Dmtard Ça vous pend ^Amau nez ^E7tôt ou ^Amtard

^E7Quand se dra^Ampant dans ^E7un lin^Amceul ^GSes parents^C le lai^G7ssent tout ^Cseul Le petit ^Forphe^E7lin, ma ^Amfoi Est bien à ^Dplaindre t^D#dimoutefois^{E7 G}Sans aller ^Cjusqu'à ^G7décré^Cter Qu'il devient ^Emun e^D#dimnfant gâ^E7té ^EDisons que ^Adans son ^A7afflic^Dmtion Il trouve ^Amdes com^E7pensa^Amtions

^E7D'abord au ^Amdesser^E7t aussi^Amtôt ^GLa meilleu^Cre part ^G7 du gâ^Cteau Et puis plus d^F'éco^E7le par^Amdi La semaine ^Daux quatre^D#dim-jeudis ^{E7 G}On le trai^Cte comme^G7 un pach^Ca A sa place^Em on fou^D#dimette le ^E7chat ^EEt le trou^Avant très ^A7chic en ^Dmdeuil Les filles ^Amlui font ^E7des clins d^Am'œil

^E7Il serait ^Ampar trop^E7 saugre^Amnu ^GD'énumé^Crer par^G7 le men^Cu Les faveurs ^F et les ^E7passe-^Amdroits Qu'en l'occu^Drrence on lu^D#dimi octroie ^{E7 G}Tirant même ^C un tel ^G7bénéfic^Ce En perdant ^Emleurs ^D#dimparents, des ^E7fils ^EDénatu^Arés re^A7grettent ^Dmde N'en avoir^Am à per^E7dre que ^Amdeux

^E7Hier j'ai dit^Am à un ^E7anim^Amal ^GDe flic ^Cqui me ^G7voulait du ^Cmal : "Je suis orp^Fhelin, ^E7savez-^Amvous ?" Il me ré^Dpondit : "Je^D#dim m'en fous ^E7!" ^GJ'aurais eu^C quarante ^G7ans de ^Cmoins Je suis sûr ^Emque par^D#dim les té^E7moins ^ELa brute au^Arait é^A7té mou^Dmchée Mais ces lâ^Amches n'ont ^E7pas bou^Amgé

^E7Aussi mon ^Amenfant ^E7 si tu ^Amdois ^GÊtre orphe^Clin, dé^G7pêche-^Ctoi Tant qu'à per^Fdre tes ^E7chers pa^Amrents Petit, n'a^Dttends pas d'^D#dimêtre grand^{E7 G}L'orphelin ^Cd'âge ^G7canoniqu^Ce Personne ^Emne le plain^D#dimt, ber^E7nique ! ^EEt pour tout ^Ale monde ^A7il de^Dmmeure Orphelin ^Amde la ^E7onzième ^Amheure

^E7Celui qui a ^Amfait ce^E7tte chan^Amson ^GA voulu ^Cdire à ^G7sa faç^Con Que la per^Fte des ^E7vieux est ^Ampar- Fois perte ^Dsèche,^D#dim blague à par^E7t ^GAvec l'â^Cge c'est ^G7bien norm^Cal Les plaies du ^Emcœur gué^D#dimrissent ^E7mal ^ESouventes^Afois mê^A7me, sa^Dmlut Elles ne ^Amse re^E7ferment ^Amplus