Les Fatals Picards - Par ici la monaie

^AmMessieurs dames bienvenue pour cet^Cte première Cette ^Gsoirée pour dire oui au ^Erefus de la misère. ^AmGrâce a vos dons, à votre ^Cgrandeur d’âme ^GLa France d’en bas secourt enfin ^Ela France qui gagne. ^DmVous savez que l’argent ne fais ^Cpas le bonheur ^DmDans 3 heures je veux voir ^Eexploser le compteur. ^DmPlus grande sera votre ^Cgénérosité, ^EPlus confortable leurs para^Amchutes dorés.

^AmLe Tiers Monde c’est ringard, le si^Cda démodé, ^GPensez plutôt aux riches, ^Eosez la charité. ^AmQuand je pense a tout ce que ^Cl’on pourrait faire Si vous ^Gaviez la décence d’être un ^Epeu moins sectaire. Ren^Cflouer la sécu en ta^Amxant les métastases, Sau^Gver l’avenir des banques en préle^Evant à la base, 100^C% du budget prévus ^Ampour l’éducation Et ^Gj'vous parle même pas de l’ef^Efet papillon.

^DmUn chômeur en fin de droit pendu ^Cdans le Maine-et-Loire, C’est un ^Etrader à New York qui ^Amreprend espoir.

Des ^Ampauvres j’en ai connus mais des ^Ccomme vous jamais, Vos ^Goursins dans les poches me dites ^Epas que c’est pas des vrais J’v^Ameux pas faire de chantage, vous dire ^Ccombien ils souffent Mais ^Gvoyez cette image d’un ^Epatron au bord du gouffre Il ^Cvient juste de comprendre qu’il n’y ^Amaurait pas de stock option Pour ^Gla Porshe 911 des 18 ^Eans du fiston Vous ^Dmêtes au moins conscient qu’il peut ^Cs’ouvrir les veines A ^Dmn’importe quel moment et se^E jeter dans la Seine

Si ^Dmvous le faites pas pour vous faites le ^Amau moins pour eux j’vous ^Eparle de banquier, MERDE, pas de lépreux ^Am