Les Fatals Picards - Gros con

^DQuand tes yeux ont croi^F#sé les siens A ^Bmla faveur d'un ^Gsoir de juin ^DTon cœur était u^F#n fleuve à sec Et toi t’a^Gs craqu^Aé pour ^Dce mec

^DQu’a les oreilles plus décollées Qu’une col^Alection d’vieux papiers peints La gueule d’u^Bmn pote à George Clooney Le genre beau ^Ggosse mais vu de l^Aoin

^ADu coup t’es tombée am^Doureuse Puis t’es t^Aombée aussi ^Denceinte Avant même^A de tomber heureuse Tes espérances étaient ^Ddéfuntes

Il est comme ^Gça gros^F# con Un brin pau^Bmmé légèrement ^Emaviné Et quand il ^Grentre gros ^F#con Bm G-A Lui il peut toujours t’assurer ^AQue celle-là tu l’as pas^D volée

^DDes paires de gifles en rafales L’est pour l^Eme cumul des mandales S’il t’aime c?^A??est autant pour ton cul Que pour vos ^Dhématomes crochus

^DT’as beau mentir à tes copines Leur faire le ^Acoup de l’escalier Tes bleus au ^Bmcœur les turlupinent Vu que t’^Ghabites au rez-de-ch^Aaussée

^AElles voudraient te voir porter ^Dplainte Mais gros con ^Atu l’as dans l^Da peau Et toi d’m^Aanger portes et plinthes Tout en ravalant tes san^Dglots

Il est comme ^Gça gros^F# con Un brin pau^Bmmé légèrement ^Emaviné Et quand il ^Grentre gros ^F#con Bm G-A Lui il peut toujours t’assurer ^AQue celle-là tu l’as pas^D volée

^DJ'aimerais te voir me^F#ttre les voiles Que ^Bmtu te fendes d'une ^Gcarte-postale De ^DPalavas a^F#vec écrit : Je suis heu^Greuse et ^Apresque en ^Dvie

Mon cœur n’e^F#st plus un fleuve^Bm à sec Et j’ai mê^F#me craqué pour^Bm un mec Qui ne me ^A#frappe que par l’amour Qu’il a pour moi depuis l^De jour

Où j’ai qu^Gitté gr^F#os con Un brin pau^Bmmé et toujours a^Emviné Et quand je ^Gpense au ^F#fond Bm G-A À sa vie moi j'peux t'assurer Que celle-là il l'a pas v^Dolée