Jean-Louis Aubert - Où je vis

^AmJe vis à l'heure dans le co^Feur D'une montre arrêt^Cée Le temps s'est envol^Gé A cessé de coule^Amr Les jours passent comme de l'e^Fau A mes pieds, immo^Cbiles De grandes roues dentel^Gées Semblent me regard^Amer

L'a^Cmour ^FSuit son ^Ccours ^AmEt le ^Ccours de ce ^Fjour ^Fest

N.C.

Le maître a dit "Ai^Ammez" ^Am

^AmLa rivière chante quand je ch^Cante La nuit va s'allong^Fer Au fond de la val^Emlée Où le jour l'a quit^Amté Des lions dorment à mes pi^Ceds Près du feu, allong^Fés Près d'un loup solita^Emire Qu'ils aiment comme un ^Amfrère

L'a^Cmour ^FSuit son ^Ccours ^AmEt le ^Ccours de ce ^Fjour ^Fest

N.C.

Le maître dit "Respi^Amrez" ^Am

^AmAu loin ils passent des tra^Fins Qui jamais ne m'em^Cmènent Dans la gare oubli^Gée La vie, les souven^Amirs En vain chante ce ^Ftrain Et je sais où il m^Cène Dans la gare désert^Gée Chante un autre aven^Amir

L'a^Cmour ^FSuit son ^Ccours ^AmEt le ^Ccours à ce ^Fjour ^Fest

N.C.

Le maître a dit "Res^Amtez" ^Am

^AmLes saules coulent des br^Canches Qui doucement se p^Fenchent Sous les lueurs du ci^Emel Tendrement reflé^Amtées Et si parfois une r^Cose Semble dire quelque ch^Fose C'est chuchoter au co^Emeur Mais seulement quand elle ^Amose Pas besoin d'autre ch^Cose Quand se taisent ecchym^Foses Ne pense plus à ces ch^Emoses C'est là que tu te p^Amoses

Ton voy^Cage T'alour^Fdi Oiseau du ^Cparadis ^AmEt le ^Ccours d'aujour^Fd'hui ^Fc'est N.C. Am "Va donc la retrouver"

^Am "Va donc la retrouv^Amer" ^Am "Va la retrouv^Amer" ^Am "Va la retrouv^Amer" ^Am