Jean Leloup - Les bateaux

Les chiens aboi^F#ment le train pass^Ee ^B C’est la n^F#muit pas loin de minuit^{E B} Les étoi^F#mles sont magnifiques le ciel est noir^E de ce noir ^Bbleu que l’on voi^F#mt Quand on est triste ou bien joyeux ^E

Le^Bs chiens aboient ^F#m Et ^EWillie le vieux Wil^Blie écrit ^F#m: ^{E B F#m}« À toi, ma bouteille de whisky, je^E lègue ma tri^Bstesse et mes en^F#mnuis ^{E B F#m}À toi, ma bouteille de whisky, je l?^E?gue mes fuckin’ souc^Bis; j’ai raté^F#m ma v^Eie ^{B F#m}Ce n’était semble-t-il qu’une question de sec^Eonde^Bs ^F#mElle ne tient qu’à un fil notre place dans ce m^Eonde^B

^C#mAu détour d’une peine, je me suis é^Bga^F#mré ^C#mSi loin qu’on se souvienne, ma mémoire est ca^Bss^F#mée ^C#mMes amours étaient belles, mais tout me les rappel^Ble^{F#m C#m}Encore le labyrinthe le destin qui m’esqui^Bnt^F#me

^F#mNe soyez pas trop tristes pour la fin de ma pis^Ete ^{B F#m}Tous mes os me font mal, ils m’attaquent en c^Ehacals en combat i^Bnégal^{F#m E B F#m E B}

^C#mUn peuple de démons de fantômes en som^Bme^F#mil Se cacherait-il au f^C#mond de toutes mes bouteilles ? Je suis si v^Bieux et où s^F#mont mes petites viei^C#mlles ? ^C#mPour ma part, il me tarde de partir en voya^Bge ^{F#m C#m}Quitter cette famille de terreurs qui fourmi^Bllent^F#m

^EAu loin les fl^F#mammes, a^Au loin^C# les fla^Emmes, au loin les flamm^F#mes, au l^Aoin les^C# flamme^Es Au loin les... ^F#mEt au vent qui emmènera la fu^Emée de ma cabane en bo^Bis ^F#mJe lègue ma philosophie et aussi to^Eutes mes idées de g?^B?nie ^F#mEt enfin à toi, le passant qui passera, je te lè^Egue ma Ford Nova ^{B F#m}Je te préviens tout de suite : l??^E?amour n’exist^Be pas ^F#mAu loin les flam^Emes, ^{B F#m}au loin les flam^Emes..^B.