Jacques Brel - Il nous faut regarder

Derrière la sale^Cté s'étalant devant ^Gnous derrière les yeux plis^Esés et les visages ^Ammous; au delà de ces ^E7mains ou^Amvertes ou fer^E7mées qui se ^Amtendent en ^E7vain ou ^Amqui sont poing le^E7vé; plus ^Amloin que les fron^Dmtières qui sont de barbe^Amlés, plus ^Eloin que la misère il nous faut regar^Eder.

Il nous faut regar^Cder ce qu'il y a de ^Gbeau le ciel gris ou bleu^Eté, les filles au bord de l'^Ameau; l'a^Cmi qu'on sait fidèle, le soleil de de^Gmain, le vol d'une hiron^Edelle, le bateau qui re^Amvient; l'ami qu'on sait fi^Edèle, le soleil de de^Ammain, le ^Evol d'une hiron^Amdelle, le ^Ebateau qui re^Amvient.

Par delà le con^Ccert des sanglots et des ^Gpleurs et des cris de co^Elère des hommes qui ont^Am peur; par delà le va^E7carme des ^Amrues et des chan^E7tiers, des si^Amrènes d'al^E7arme, des ^Amjurons de char^E7retier; pl^Dmus fort que les enfants qui racontent les ^Amguerres et plus fort que les ^Egrands qui nous les ont fait faire.

Il nous faut écou^Cter l'oiseau au fond des ^Gbois, le murmure de l'é^Eté le sang qui monte en ^Amsoi, les berceuses des ^Cmères, les prières des en^Gfants et le bruit de la ^Eterre qui s'endort douce^Amment; les berceuses des ^Emères, les prières des en^Amfants et ^Ele bruit de la ^Amterre qui s'^Eendort douce^Amment.