Georges Brassens - Le parapluie

Il pleuvait ^Gfort sur la grand-route, Elle chemin^E7ait sans parapl^Amuie J'en avais ^D7un, volé, sans ^Gdoute, Le matin m^D7ême à un a^Gmi ^GCourant alors à sa resc^G7ousse, Je lui pro^E7pose un peu d'a^Ambri En séchant l^D7'eau de sa frim^Gousse, D'un air très ^D7doux, elle m'a dit « ^Goui »

Un p'tit ^Amcoin d'parap^D7luie, Contre un ^Gcoin d'parad^E7is Elle av^Amait quelque c^D7hose d'un ^Gange ^E7 Un p'tit ^Amcoin d'para^D7dis, Contre un ^Gcoin d'para^E7pluie Je n'perd^Amais pas au ^D7change, par^Gdi

Chemin fais^Gant que ce fut tendre D'ouïr à d^E7eux le chant jo^Amli Que l'eau du ^D7ciel faisait en^Gtendre Sur le toit ^D7de mon parap^Gluie ! ^GJ'aurais voulu comme au dé^G7luge, Voir sans ar^E7rêt tomber la p^Amluie, Pour la gar^D7der sous mon re^Gfuge, Quarante ^D7jours, quarante n^Guits.

Un p'tit ^Amcoin d'parap^D7luie, Contre un ^Gcoin d'parad^E7is Elle av^Amait quelque c^D7hose d'un ^Gange ^E7 Un p'tit ^Amcoin d'para^D7dis, Contre un ^Gcoin d'para^E7pluie Je n'perd^Amais pas au ^D7change, par^Gdi

Mais bête^Gment, même en orage, Les routes ^E7vont vers des p^Amays. Bientôt le s^D7ien fit un bar^Grage A l'hori^D7zon de ma fol^Gie ! ^GIl a fallu qu'elle me ^G7quitte, Après m'a^E7voir dit grand mer^Amci. Et je l'ai ^D7vue toute pet^Gite, Partir gaie^D7ment vers mon oub^Gli

Un p'tit ^Amcoin d'parap^D7luie, Contre un ^Gcoin d'parad^E7is Elle av^Amait quelque c^D7hose d'un ^Gange ^E7 Un p'tit ^Amcoin d'para^D7dis, Contre un ^Gcoin d'para^E7pluie Je n'perd^Amais pas au ^D7change, par^Gdi