Georges Brassens - Le cocu

^BbComme elle n^A7'aime pas ^Bbbeaucoup la ^A7solitude ^GmCependant ^Dmque je pêche et ^Bbque je m'ennob^A7lis, ^BbMa femme ^A7sacrifie^Bb à sa vieille ^A7habitude De ^Dmfaire, à ^C7tout ve^Fnant, les ^Dmhonneurs ^Bbde ^C7mon l^Fit. De ^Dmfaire, à ^C7tout ve^Fnant, les ^Dmhonneurs ^Bbde ^C7mon ^Dmlit.^{C7 Dm}

^BbEh ! oui, je ^A7suis cocu, ^Bbj'ai du cerf ^A7sur la tête, ^GmOn fait forc^Dme de trous dans ^Bbma lune de ^A7miel, ^BbMa bien-ai^A7mée ne m'in^Bbvite plus^A7 à la fête Quand ^Dmell' va ^C7faire un t^Four jusqu^Dm'au septi^Bbè - ^C7me ci^Fel, Quand ^Dmell' va ^C7faire un t^Four jusqu^Dm'au septi^Bbè - ^C7me c^Dmiel. ^{C7 Dm}

^BbAu péril ^A7de mon cœur, ^Bbla malheur^A7euse écorne ^GmLe pacte ^Dmconjugal et ^Bbme le dépréc^A7ie, ^BbQue je ne ^A7sache plus ^Bboù donner ^A7de la corne Semb^Dmle bien ^C7être l^Fe ca^Dmdet de s^Bbes s^C7ou - ^Fcis, Sem^Dmble bien ^C7être l^Fe ca^Dmdet de s^Bbes so^C7u - ^Dmcis. ^{C7 Dm}

^BbLes galants ^A7de tout poil ^Bbviennent boire ^A7en mon verre, ^GmJe suis la ^Dmprovidence ^Bbdes écornif^A7leurs, ^BbOn cueille ^A7dans mon dos ^Bbla tendre p^A7rimevère Qui te^Dmnait ^C7le des^Fsus de ^Dmmon pan^Bbier ^C7de ^Ffleurs, Qui te^Dmnait ^C7le des^Fsus de ^Dmmon pan^Bbier ^C7de ^Dmfleurs.^{C7 Dm}

^BbEn reven^A7ant fourbu ^Bbde la pêche ^A7à la ligne, ^GmJe les sur^Dmprends tout nus dans l^Bbeurs déborde^A7ments. ^BbConseillez-^A7leur le port ^Bbde la feuil^A7le de vigne, Ils s'^Dmy re^C7fuse^Front a^Dmvec en^Bbtê - ^C7te - m^Fent, Ils s'^Dmy re^C7fuse^Front a^Dmvec en^Bbtê - ^C7te - m^Dment.^{C7 Dm}

^BbSouiller mon ^A7lit nuptial, ^Bbest-ce que ça ^A7les empêche ^GmDe garder^Dm les dehors de ^Bbla civili^A7té ? ^BbQu'on me dem^A7ande au moins^Bb si j'ai fait ^A7bonne pêche, Qu'on ^Dmdaigne ^C7s'enqué^Frir en^Dmfin de^Bb ma ^C7san^Fté, Qu'on ^Dmdaigne ^C7s'enqué^Frir en^Dmfin de^Bb ma ^C7san^Dmté. ^{C7 Dm}

^BbDe grâce, un ^A7minimum ^Bbd'attentions ^A7délicates ^GmPour ce pauv^Dmre mari qu'on c^Bbouvre de saf^A7ran ! ^BbLe cocu, d^A7'ordinaire,^Bb on le choie, ^A7on le gâte, On ^Dmest en ^C7fin de ^Fcompte un^Dm peu de ^Bbses ^C7pa-^Frents, On ^Dmest en ^C7fin de ^Fcompte un^Dm peu de ^Bbses ^C7pa-^Dmrents^C7. ^Dm

^BbA l'heure ^A7du repas, ^Bbmes rivaux ^A7détestables ^GmOnt encor' ^Dmce toupet de ^Bblorgner ma por^A7tion ! ^BbÇa leur fer^A7ait pas peur^Bb de s'asseoir ^A7à ma table. Co^Dmcu, tant ^C7qu'on voud^Fra, mais ^Dmpas amp^Bbhi - ^C7try - ^Fon, Co^Dmcu, tant ^C7qu'on voud^Fra, mais ^Dmpas amp^Bbhi - ^C7try - ^Dmon. ^{C7 Dm}

^BbPartager ^A7sa moitié, ^Bbest-ce que ce^A7la comporte ^GmQue l'on par^Dmtage aussi la ^Bbchair et la bois^A7son ? ^BbJe suis presque ^A7obligé ^Bbde les mettre ^A7à la porte, Et ^Dmbien con^C7tent s'ils ^Fn'empor^Dmtent pas ^Bbmes ^C7pois^Fsons, Et ^Dmbien con^C7tent s'ils ^Fn'empor^Dmtent pas ^Bbmes ^C7pois^Dmsons.^{C7 Dm}

^BbBien content ^A7qu'en partant ^Bbces mufles ^A7ne s'égarent ^GmPas à mett^Dmre le comble à ^Bbleur ignomin^A7ie ^BbEn sifflot^A7ant "Il est ^Bbcocu, le ch^A7ef de gare..." Parc' ^Dmque le ^C7chef de ^Fgar', c'est ^Dmmon meill^Bbeur ^C7a - ^Fmi, Parc' ^Dmque le ^C7chef de ^Fgar', c'est ^Dmmon meill^Bbeur ^C7a - ^Dmmi. ^{C7 Dm}