Georges Brassens - A lombre du coeur de ma mie

À^Am l'ombre du cœur de ^Dmma mie, ^AmÀ l'ombre d^E7u cœur de ^Amma mie, Un oiseau s'était e^Dmndormi, ^AmUn oiseau s'^E7était en^Amdormi ^Dm Un jour qu'elle faisait semblant, ^GD'être la ^CBelle au ^E7bois do^Amrmant E^Amt moi, me mettant à ^Dmgenoux, ^AmEt moi, me m^E7ettant à g^Amenoux, Bonnes fées, s^Dmauvegardez-nous,^Am Bonnes fées, sau^E7vegardez^Am-nous, ^Dm Sur ce cœur j'ai voulu po^Gser, U^Cne manièr^E7e de ^Ambaiser ^Am Alors cet oiseau de malh^Dmeur, Al^Amors cet oiseau ^E7de malheu^Amr, Se mit à crier ?^Dm? Au voleur », ^AmSe mit à cr^E7ier « Au v^Amoleur », ^Dm « Au voleur » et « A l'^Gassassin »^C, Comme si j'en vou^E7lais à^Am son sein ^Am Aux appels de cet étour^Dmneau, ^AmAux appels de c^E7et étou^Amrneau, Grand branle-ba^Dms dans Landerne^Amau, Grand bra^E7nle-bas dans Landern^Ameau, T^Dmout le monde et son père acc^Gourt, A^Cussitôt lui po^E7rter se^Amcours ^Am Tant de rumeurs, de grondeme^Dmnts, T^Amant de rumeu^E7rs, de grondemen^Amts, Ont fait peu^Dmr aux enchantemen^Amts, Ont^E7 fait peur aux enchanteme^Amnts, ^Dm Et la belle désabus?^G?e, F^Cerma son coeur^E7 à mon^Am baiser ^Am Et c'est depuis ce temps, ma so^Dmeur, E^Amt c'est depuis ce te^E7mps, ma soe^Amur, Que je suis devenu c^Dmhasseur, Q^Amue je suis dev^E7enu cha^Amsseur Q^Dmue mon arbalète à la main,^G Je cours ^Cles bois et le^E7s chem^Amins