Frero Delavega - Ton visage

^Dm Quand en ville^Am, le grain se lève, ^E Vent de nerf agi^Amté, Que s??^Dm?éter^Amnisent les rêves, E ! Dans ma réalité.

J’veux de^Dms balades sur l^Ama grève, Oh,^E un peu d’huma^Amnité. oh Moins de ^Dmbéton plus de^Am trêve, ^E Une vie de quali^Amté, Oh moins de ^Dmbétons plus de^Am rêve E Am! Dans ma réalité.

Que ^Dmn’ai-je ? ^AmUne planche de salut ^E Loin du métro, de ^Amson raffut, Les yeux ^Dmrivés^Am sur le rivage, ^E Oublié ton loin^Amtain visage.

J’veux de^Dms larmes, qu^Ami ne coupent pas, ^E Et moins de peine en^Am 4 par 3, Un bo^Dmnheur simple, ^Ammais à mon goût, E ! C’est un peu vrai mais ça fait tout. J’veux^Dm plus de houl^Ame dans mon écume, ^E Et moins de foule ^Amdans mon bitume, Ces ^Dmpetites choses ^Amqui n’ont au clair ^E De sens qu’une foi^Ams qu’on les perd Ces ^Dmpetites choses ^Amqui n’ont au clair ^E De sens qu’une foi^Ams qu’on les perd.

Que ^Dmn’ai-je ? ^AmUne planche de salut ^E Loin du métro, de ^Amson raffut, Les yeux ^Dmrivés^Am sur le rivage, ^E Oublié ton loin^Amtain visage.

Que n’ai-je^F alors ? Une p^Amlanche de salut Pour che^Fvaucher mon vague à l^Am’âme Bel oc^Féan, briseur, ^Amt’as lu F E ! Pour sécher le sel de mes larmes.

Que ^Dmn’ai-je ? ^AmUne planche de salut ^E Loin du métro, de ^Amson raffut, Les yeux ^Dmrivés^Am sur le rivage, ^E Oublié ton loin^Amtain visage.