Francis Cabrel - Leïla et les chasseurs

^AmLeïla, si tu savais les yeux qu'elle a quand elle voit s'approcher les ch^Fasseurs ^AmLeïla, si tu savais les yeux qu'elle a quand elle voit s'approcher les ch^Fasseurs ^AmPas la peine de mentir, Leïla sait ce que veut di^Fre Ce feu sous vos paupières blanches qui fixe le dessous de ses han^Eches Ces mots humides de pluie qui meurent aussitôt di^Dts Ces corps tendus immobil^Ees, après les éclairs faci^Amles

L^Ameïla, elle les connaît trop faux nez et faux numéros^F,même par terre même morts et quand même les plus fort^Es Ces phrases pleines de détours qui craignent la lumière du jo^Dur Ils cachent tous quelque chose i^Els chassent tous quelque ch^Amose

L^Ameïla, quand elle voit s'approcher les chass^Feurs ^AmLeïla, si tu savais les yeux qu'elle a Quand elle voit s'approcher les chasse^Furs Y ^Ama ceux qui pleurent de joie en ajoutant une croi^Fx Ceux qui l'aiment à tout jamais et qui ont un avion juste apr^Eès Ceux qui ont des barques sur la Seine trop loin pour que je t'y emm^Dène Ceux qui ont de l'or plein les châtea^Eux, ceux qui ont des ports pleins de bate^Amaux

ls^Am parlent tellement fort ils sont tellement nombre^Fux Qu'un soir de fatigue elle s'endort contre la peau de l'un d'e^Eux Pour peu qu'il soit d'une autre sorte un peu moins menteur que les aut^Dres Elle aura le gris du matin ^Eet les fleurs du papier pei^Amnt

Le^Amïla, quand elle voit s'approcher les chasse^Furs ^AmLeïla, si tu savais les yeux qu'elle a quand elle voit s'approcher les chasse^Furs les chasseurs ^{D E Am}

L^Ameïla n'y peut pas grand chose si elle a la fraîcheur des roses ^F Elle est la cible de vos flèches mais c'est pas vous qu'elle cherc^Ehe Elle rêve d'un fragile, d'un fou qui l'embrasse au quinzième rendez-vou^Ds Qui tremble en lui prenant la main ^Eet surtout qui ne dise rien ^Am Surtout, su^Frtout qui ne disent rien