Francis Cabrel - Le chene liege

Adossé^F à un chêne liège Je desce^Amndais quelques arpèges En pr^Emiant Dieu ou Bouddha que sais-je Est-ce qu^Fe tu pen^Gses^G4 à ^Gnous un peu Le monde est a^Fux mains de stratèges Costum^Ames noirs, cravates beiges Turbans bl^Emancs comme la neige Qui jouent de bi^Fen drôles ^Fde jeux Il y a d^Amans nos attelages Des gens de r^Faison, de courage, Dans tous les ca^Fmps, de tous les âges, Dont le seul ^Grêve est d'être heureux On a dr^Fessé des cathédrales Des flèches ^Amà toucher les étoiles Dit des ^Emprières monumentales Qu'es^Ft-ce qu'^Fon pouvait faire de mieux

Etes-vous l^Fà, êtes-vous proches, Ou trop loin p^Amour entendre nos cloches Gardez-vous ^Emles mains dans les poches

D'en haut de ^Fvos très blanches loges Les vo^Amyez-vous qui s'interrogent Millions de f^Emourmis qui pataugent La tête to^Furnée vers les^F cieux Sommes-nous s^Ameuls dans cette histoire Les seuls à c^Fontinuer à croire Regardons-n^Fous vers le bon phare Où le ciel e^Gst-il vide et creux Adossé à ^Fun chêne liège Pris comme^Am dans les fils d'un piège Je descen^Emdais quelques arpèges Je n'avais ri^Fen trouv^Fé de mieux ^{F Am Em F F}

Où êtes^Am-vous dans l'atmosphère On vous atte^Fnd on vous espère Mais c'est le d^Foute et le mystère Que vous m'aur^Gez appris le mieux F A m Adossé à un chêne liège Je descen^Emdais quelques arpèges Par un ap^Frès-midi pluvieu^Fx ^{F Am} Je descen^Emdais quelques arpèges Par un ap^Frès-midi pluvie^Fux