Florent Pagny - Et un jour une femme

^F6D'avoir passé des nuits blanches à r^G6êver Ce que les ^Em7contes de fées vous laissent ^Dm7imaginer ^F6D'avoir perdu son enfance dans la ru^G6e Des illus^Amions déçues passer inape^Amrçu

^F6D'être tombé plus bas que la poussiè^G6re Et à la ter^Em7re entière, en vouloir puis s^Dm7e taire D^F6'avoir laissé jusqu'à sa digni^G6té Sans pl^Amus rien demander Qu'on v^Amienne vous achever

Et un jour une fe^F6mme Dont le regard vous fr^G6ôle Vous porte ^Em7sur ses épaules Comme elle porte le^Dm7 monde Et jusqu'à bout de fo^F6rce Recouvre de son éc^G6orce Vos plaies les plu^Ams profondes^Am Puis un jour une fe^F6mme Met sa main dans la ^G6votre Pour vous parler d'un ^Em7autre Parce qu'elle porte le ^Dm7monde Et jusqu'au bout d'elle^F6 même Vous prouve qu'elle vous^G6 aime Par l'amour qu'elle ^Aminonde

^F6Jour après jour vous redonne confian^G6ce De toute ^Em7sa patience, vous remet de^Dm7bout T^F6rouver en soi un avenir peut-êt^G6re Et surtout l'envie^Am d'être Ce qu'elle atten^Amd de vous

Et un jour une fe^F6mme Dont le re^G6gard vous frôle Vous porte s^Em7ur ses épaules Comme elle por^Dm7te le monde Et jusqu'à bout de fo^F6rce Recouvre de son é^G6corce Vos plaies les ^Amplus profondes Vos plaies les p^Amlus profondes Et un jour une fe^F6mme Met sa main dans la vo^G6tre Pour vous parl^Em7er d'un autre Parce qu'elle porte^Dm7 le monde Et jusqu'au bout d'elle^F6 même Vous prouve qu'elle vou^G6s aime Par l'amour qu'elle^Am inonde Par l'amour qu'elle^Am inonde

Et un jour cette fe^F6mme Dont le regard vous t^G6ouche Porte jusqu'à sa b^Em7ouche Le front d'un peti^Dm7t monde Et jusqu'au bout de s^F6oi Lui donne tout ce qu'el^G6le a Chaque pas chaque sec^Amonde Et jusqu'au bout du m^Amonde Jusqu'au bout du mond^Ame

Parlé:

Jusqu'au bout du ^Fmaj7monde ^G Parce qu'elle porte le ^Em7monde ^Dm7