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AmTu ris si mal, tu ris de Dmvivre.
Des tâches de vin sur ta chE7emise,
qui a deux boutons et de la E7terre
sur ton corps qui me repousAmsait.
Tu fais l'amour en deux pousDmsées
L'amour, le manque et la tourE7née.
Et pendant que tu t'artiE7cules, moi,je soupire et toi tu Dmme
Menaces de parAmtir ?
Parce E7que je hurle quand tu chantes tes souveAmnirs.
Eh bien ch?Dm?ri, prends donc laAm porte,
Car Etu sais que plus rien ne me Eparle!
Mais dis moi Fadieu deCmain.
Mais dis moi E7adieu en cheAmmin.
Va voir les Fautres, je n'en pense Crien
E7 Am ...
Je t'ai aimé, et je t'assure que c'est la fin
AmCrois-tu pouvoir Enfin me Dmdire
que tu veux bien qu'on reste E7amis
non, c'est gentil, ça va commeE7 ça, des amis, j'en ai plein Amdéjà.
Je n'aurai donc plus à t'eDmntendre
rentrer la nuit quand j'attends E7l'aube
qui arrive en poussant les E7heures; moi,je me lève et toi tuDm me
menaces de parAmtir
parce E7que je hurle quand tu chantes tes souveAmnirs.
et bien ch?Dm?ri, prends donc laAm porte
car Etu sais que plus rien ne me Eva
Mais dis moi Fadieu deCmain.
Mais dis moi E7adieu en cheAmmin.
Va voir les Fautres, je n'en pense Crien
Je t'ai aiE7mé, et je t'assure que c'est laAm fin
Mais dis moi Fadieu deCmain.
Mais dis moi E7adieu en cheAmmin.
Va voir les Fautres, je n'en pense Crien
Je t'ai aiE7mé, et je t'assure que c'est laAm fin