Claude Nougaro - Armstrong

^EmArmstrong,^B7 je ne^Em suis pas^Am noir,^Em je suis^B7 blanc de^Em peau ^{A7 Em}Quand on ^B7veut cha^Emnter l'e^Amspoir^Em quel ma^B7nque de^Em pot ! Oui, j'ai beau voir le ciel^Em, l'oisea^Amu, ri^Emen ri^B7en ri^Emen ne lui^Amt là-haut Les a^Emnges, ^Am7zéro, ^Emje suis b^B7lanc de p^Emeau

^EmArmstrong,^B7 tu te^Em fend la ^Ampoire,^Em on voit^B7 toutes t^Emes dent^A7s ^EmMoi, je ^B7broie plu^Emtôt du n^Amoir, ^Emdu noir ^B7en deda^Emns Chante pour moi, Louis, oh ^Emoui, chan^Amte ch^Emante ^B7chant^Eme, ça tie^Amnt chaud J'ai f^Emroid, ^Am7oh moi, ^Emqui suis ^B7blanc de ^Empeau

^EmArmstrong,^B7 la vi^Eme, quelle^Am histo^Emire, c'e^B7st pas tr^Emès marr^A7ant ^EmQu'on l'éc^B7rive bla^Emnc sur n^Amoir ou ^Embien noi^B7r sur b^Emlanc On voit surtout du rouge, d^Emu rouge, ^Amsans ^Emsans ^B7sans ^Emtrêve ni ^Amrepos Qu'on ^Emsoit, ^Am7ma foi, ^Emnoir ou b^B7lanc de p^Emeau

^EmArmstrong,^B7 un jo^Emur, tôt o^Amu tard^Em, on n'e^B7st que de^Ems os ^{A7 Em}Est-ce que^B7 les tie^Emns seron^Amt noirs^Em? Ce ser^B7ait rig^Emolo Allez, Louis, al^Emlélui^Ama, au^Em-delà ^B7de nos^G7 oripe^A7aux Noir et blan^Emc sont ressemblants comme^B7 deux gouttes d'eau ^{Em Am}Oh Ye^Emah