Bourvil - La tendresse

^AmOn peut vivre sans ri^Fchesse, Pres^Gque sans le ^Csou ^FDes seigneurs et des prin^Dmcesses Y'en ^E7n'a plus beau^Amcoup ^Dm Mais vivre sans ten^Amdresse ^Dm On ne le pourrait ^Ampas ^FNon non non ^Cnon ^E7 On ne le pourrait ^Ampas

^AmOn peut vivre sans la ^Fgloire Qui ^Gne prouve ^Crien ^FEtre inconnu dans l'his^Dmtoire Et s'^E7en trouver ^Ambien ^Dm Mais vivre sans ten^Amdresse ^Dm il n'en est pas ques^Amtion ^FNon non non ^Cnon ^E7 il n'en est pas ques^Amtion

^C Quelle douce fai^Gblesse ^C Quel joli senti^Gment ^Am Ce besoin de ten^Edresse ^Am Qui nous vient en nai^Essant Vrai^E7ment vrai^Amment vrai^E7ment

^AmLe travail est néce^Fssaire Mais ^Gs'il faut res^Cter ^FDes semaines sans rien ^Dmfaire Eh ^E7bien on s'y ^Amfait ^Dm Mais vivre sans ten^Amdresse ^Dm le temps vous paraît ^Amlong ^FLong long long ^Clong ^E7 le temps vous parait ^Amlong

^BbmDans le feu de la jeu^Gbnesse Nai^Abssent les plai^Dbsirs ^GbEt l'amour fait des prou^Ebmesses Pour ^F7nous éblou^Bbmir ^F7 Oui mais sans la ten^Bbmdresse ^F7 L'amour ne serait ^Bbmrien ^EbmNon non non n^Dbon ^F7 L'amour ne serait ^Bbmrien

^BbmQuand la vie impitoya^Gbble Vous^Ab tombe des^Dbsus ^GbOn est plus qu'un pauvre^Ebm diable Bro^Fyé et d^Bbméçu ^F7Alors sans la tendre^Bbmsse ^F7d'un coeur qui nous ^Bbmsoutient ^EbmNon non non n^Dbon ^F7on n'irait pas plu^Bbms loin

^DbUn enfant vous em^Abbrasse ^DbParce qu'on le rend heu^Abreux ^BbmTous nos chagrins s'eff^Facent ^BbmOn a les larmes aux y^Feux Mon ^F7Dieu mon ^BbmDieu mon ^F7Dieu

^BbmDans votre immense sa^Gbgesse Im^Abmense ferv^Dbeur ^GbFaites donc pleuvoir san^Ebms cesse Au ^Ffond de nos^Bbm cœurs ^F7Des torrents de tend^Bbmresse ^F7pour que règne l'amo^Bbmur ^EbmRègne l'amo^Dbur ^F7jusqu'à la fin des^Bbm jours.