Saez - Les enfants paradis
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Tuning: E A D G B E
Les enfants paradis - Saez
[Intro]
Em
Am
D
G
C
Bm
C Bm
Am Em
[Couplet]
Ils étaient des sourEmires, ils étaient des sanglots
Ils étaient de ces rAmires que font les chants d'oiseaux
Ils étaient des matiDns quand on va bord de mer
Ils étaient cœur chaGgrin, ils étaient cœur lumière
Ils étaient des poèmCes, ils étaient des oiseaux
Ils étaient des "je Bmt'aime" qu'on dit bord du ruisseau
Ils étaient du cafCé, ils étaient du bistBmrot
Ils étaient étrangAmers, ils étaient sans draEmpeau
Ils étaient de PaEmris, ils étaient de province
Ils étaient cœur de Ampluie qui font mon cœur qui grince
Ils étaient plein de Dvie, avaient l'œil du printemps
Ils étaient cœur qui Grit quand le ciel est pleurant
Ils étaient des proCmesses, ils étaient devenir
Ils étaient bien trop Bmjeunes, oui, pour devoir partir
Ils étaient fils d'OCrient ou fils de l'OcciBmdent
Enfants du paraAmdis, enfants du BataEmclan
Ils étaient cœur françEmais ou international
Ils étaient la roAmsée qui pleure dessous le châle
Ils étaient des proDmesses, ils étaient des bourgeons
Qui font monter trisGtesse, ils étaient des chansons
Ils étaient des famCilles, ils étaient des amis
Ils étaient ce qui Bmbrille dans le ciel de la nuit
Ils étaient amourCeux, ceux qui se sont blotBmtis
L'un contre Aml'autre, à deux contre la tyranEmnie
Ils étaient comme Emtoi, ils étaient comme moi
Ils n'étaient pas guerAmriers, mais sont morts au combat
Ils étaient cœur d'aDmour, ils étaient cœur qui bat
Puis qui battra touGjours même en dessous la croix
Ils étaient ces aCmis que je connaissais pas
Ils étaient mon paBmys et puis le tien, je crois
Ils resteront PaCris, Paris se souvienBmdra
Toujours de ces aAmmis, la lumière brilleEmra
Ils s'appelaient je Emt'aime, ils s'appelaient jeunesse
Ils s'appelaient poAmèmes, ils s'appelaient tendresse
Ils s'appelaient franDgines, ils s'appelaient frangins
Ils s'appelaient gaGmines, ils s'appelaient gamins
Ils s'appelaient la Cjoie et puis la non violence
Ils s'appelaient, je Bmcrois, les enfants de la France
De tous les horiCzons, puis de tous les préBmnoms
Ils s'appelaient aAmmour, s'appelaient l'horiEmzon
Ils s'appelaient Jacques EmBrel, puis, je crois, Barbara
Ils s'appelaient le Amciel, ils s'appelaient pourquoi
Toujours ici somDmeille l'horreur au creux du bois
Qui rejoint l'EterGnel, va l'innocent, je crois
Ils étaient poings leCvés, ils étaient nos concerts
Ils étaient cœur serBmré, oui, face aux tortionnaires
Ils étaient cœur d'œilClets, des fleurs face aux fuBmsils
À nos cœurs endeuilAmlés, nous pleurons nos aEmmis
À l'innocent qu'on Emtue, oui, tombé sous les balles
Au soldat inconAmnu, sous l'horreur des mitrailles
Si sont les lettres Dmortes, les cantiques du chagrin
Puisque frappent à la Gporte les plaines de Verdun
Si sont tombés ce Csoir, en ce vendredi noir
Les frères de mon pBmays, nous laissant désespoir
Mon pays, ta culCture, est morte assassBminée
Mais tu sais ma culAmture, non, ne mourra jaEmmais
Toi mon pays, MoEmlière, toi mon pays, Vinci
Toi mon pays, VoAmltaire, toi mon pays, Valmy
Toi mon pays, la DTerre, toi mon pays, Paris
Toi mon pays parGterre, relève-toi mon pays
Toi mon pays luCmière, toi mon pays la vie
Mon pays littéBmraire, mon pays triste vie
Toi mon pays mes Cfrères, toi frère de mon paBmys
Comme on chérit sa Ammère, on chérit sa paEmtrie
[Outro]
Em
Am
D
G
C
Bm
C Bm
Am Em