Rita Mitsouko - Marcia baila

Ma^Amrcia,^D ell^Bme dans^E7e Su^Amr du sati^Dn, de l^Bma rayo^E7nne, Du^Am polys^Dtyr?^Bm?ne exp^E7ansé A se^Ams pie^Dds. ^{Bm E7} Ma^Amrcia da^Dnse a^Bmvec des j^E7ambes Ai^Amguis?^D?es comme ^Bmdes coup^E7erets, Deu^Amx flèches ^Dqui donnent^Bm des i^E7dées Des sensatio^Amns. ^{D Bm E7} Ma^Amrcia ^Delle^Bm est maig^E7re, Bel^Amle en sc^Dène, belle^Bm comme à l^E7a ville. La^Am voir da^Dnser m^Bme transforme En excité^Ame. ^{D Bm E7}

Am^A7oretto comme ta bo^F#muche Est immen^Bmse quand tu sour^Eis, Et quand tu ri^As, je ris auss^F#mi. Tu aimes tellement la vi^Bme. Quel est do^E7nc ce froid Que l'on sent^C#m7 en toi^E ? Mais c'est la mo^Amrt qui t'a ^Dassassi^Bmnée, Ma^E7rcia. C'est la m^Amort qui t'^Das cons^Bmumée, ^E7Marcia. C'est le canc^Amer que tu ^Das pris^Bm sous to^E7n bras. Mainten^Amant tu ^Des en cendres,^Bm cendr^E7es. La m^Amort, c'est comme ^Dune chose^Bm impos^E7sible, Et même a ^Amtoi, qui est^D forte comm^Bme une ^E7fusée, Et même a ^Amtoi, qui est^D la vi^Bme même,^E7 Marcia, C'est la m^Amort q^Dui t'a ^Bmemmen?^E7?e.

^AmMarci^Da da^Bmnse un^E7 peu chinois, La chaleur dans les mouvements d'épaules, A plat comme un hiéroglyphe Inca de l'opéra. Avec la tête, Elle danse aussi très bien Et son visage danse avec tout le reste. Elle a cherché une nouvelle façon Et l'a inventée. C'est elle la sauterelle, La sirène en mal d'amour, Le danseur dans la flanelle Ou le carton.

Am^A7oretto comme ta bo^F#muche Est immen^Bmse quand tu sour^Eis, Et quand tu ri^As, je ris auss^F#mi. Tu aimes tellement la vi^Bme. Quel est do^E7nc ce froid Que l'on sent^C#m7 en toi^E ? Mais c'est la mo^Amrt qui t'a ^Dassassi^Bmnée, Ma^E7rcia. C'est la m^Amort qui t'^Das cons^Bmumée, ^E7Marcia. C'est le canc^Amer que tu ^Das pris^Bm sous to^E7n bras. Mainten^Amant tu ^Des en cendres,^Bm cendr^E7es.