Raphael (France) - La réalité

Je su^Amis jamais vraiment été ^Dmallé à l'école ^G J'ai fait mon tour et puis ^Gc'était marre Et ma ^Amvision du monde je la ch^Dmerchais dans leur yeux ^G Mais j'ai rien vu, j'ai rien ^Gvu du tout J'ai ^Amsonné la retraite et j'ai ^Dmsonné l'hallali Et ^Gdes anges avec leurs trompettes ^GM'ont cloué au lit Des ^Ammouches et des famines Là ^Dmdans ma chambre froide ^G Je crois j'étais ^Gmalade

A rester ^Emlà, as^Csis, comme ^Emon en voit des pay^Cs Des villes et ^Emdes mondes, des hommes ou ^Cdes bêtes C'est comme ç^Ca qu'ils m'ont trouvé^Am, qu'ils m'ont réveill^Emé

Me rév^Ameillant ce matin, du ^Dmmal à me lever De ^Gla terre et du ciel, mais je ^Gsuis pas causant Me ré^Amveillant ce matin, per^Dmsonne pour m'énerver De ^Gla terre et du ciel, pas ^Gvraiment pratiquant Et je ^Amme souviens, petit, en bas ^Dmdes jambes, endormi Et ^Gdes pierres dans les bras^G

A rester ^Emlà, as^Csis, si j'^Emen ai vu du pay^Cs Des hommes ou ^Emdes bêtes, des villes et ^Cdes mondes C'est comme ç^Ca qu'ils m'ont trouvé^Am, qu'ils m'ont emmen^Emé

Les voil^Amà bien excités, tout prêts ^Dmà me déchirer Ils ne ^Gme trouveront jamais^G

Je m'en v^Emais, moi^C, rêver des ^Emprairies Des villes et ^Cdes mondes, des hommes ou ^Emdes bêtes Tout était ^Crêvé C'est comme ç^Ca qu'ils m'ont trouvé^Am, qu'ils m'ont ramen^Emé

Je m'en vais moi^C, rêver des ^Emprairies ^C Rêver des ^Emprairies ^C Et c'est ^Clà que j'ai trouvé^Am ma Réalit^Emé