Offenbach - La voix que jai

^GCette voix brisée par l'a^Elcool La ci^Amgarette et les nuits fo^Dlles ^GCette voix fêlée de fum^Eée Toute ang^Amoissée presque ét^Dranglée ^GCette voix pleine de ble^Essures De peine d^Am'amour et d'^Daventures ^GCette voix remplie d'a^Emertume De co^Ammplaintes et d'i^Dnfortunes ^CCette v^Goix q^Amue j'^Gai ^CCette v^Goix je v^Amous la d^Gonne C'est to^Cut ^Gce ^Amque j^G'ai ^C

^GCette voix qui crie au mois de m^Eai Qu'on ne sais p^Amlus comment a^Dimer ^GCette voix de bête bles^Esée Qui n'en fi^Amnit plus de ple^Durer Cette v^Goix rouge comme une fo^Erge Qui de ses fla^Ammmes brûle ma g^Dorge Cet^Gte voix d'animal ^Esauvage Qui voudrait fui^Amr loin de sa c^Dage ^CCette v^Goix que j^Am'ai ^{G C}Cette v^Goix je ^Amvous la d^Gonne ^CC'est tout ce q^Gue j'ai ^{C G}Cette voix usée par l'i^Enquiétude Et par la ^Amtrop longue so^Dlitude C^Gette voix marquée par la col^Eère Et les b^Amlasphèmes de la misè^Dre ^GCette voix qui se meurt de s^Eoif À bout de ju^Amstice et de j^Doie Cet^Gte voix comme une e^Espérance Entre le ^Amnord et la souf^Dfrance ^CCette v^Goix ^Amque j'^Gai ^CCette ^Gvoix je ^Dvous la do^Gnne C'est t^Cout ^Gce ^Amque j'^Gai C'est t^Cout ^Gce qu^Ame j'a^Gi