Louis Chedid - On ne dit jamais assez aux gens quon aime quon les aime

C^Ges parents, ces amis ces fe^Ammes qu'on affectio^Dnne ^Dsus2 A^Gvec lesquels on dort on d^Aîne, on parle au télép^Dhon^Dsus2e S^Gouvent quand nos regards se ^Acroisent y a comme une ch^Daleur^Dsus2 G A Em7 A (x2) Mais de là en faire des phrases trop de pudeur, Trop de pud^Deur ^Dsus2

^Dsus2On ne dit jamais assez^G, aux ^Agens qu'on aime ^{D D4 D} P^Dsus2ar peur de les g^Gêner, q^Au'on les ai^Dme ^{D4 D} O^Dsus2n leur dit jamais a^Gssez, ^A que sans eux sans ^Delle^D4s, ^D O^Dsus2n s'rait même pas à la m^Goitié,^A de nous-m^Dême^{D4 D}

^GAvant de nous dire au r'vo^Air, marcher à l'o^Dmbre ^Dsus2 A^Gvant que sur notre histoi^Are, le rideau tom^Dbe ^Dsus2 J^G'veux déclare^Ar à tout ce p'tit mon^Dde, qui m'ent^Dsus2oure G A Em7 A (x2) La vie-la vie serait d'un sombre sans vous autour... Vous tous auto^Dur. ^{D4 D}

O^Dsus2n ne dit jamais assez^G, aux ^Agens qu'on aime ^{D D4 D} P^Dsus2ar peur de les g^Gêner, q^Au'on les ai^Dme ^{D4 D} O^Dsus2n leur dit jamais a^Gssez, ^A que sans eux sans ^Delle^D4s, ^D O^Dsus2n s'rait même pas à la m^Goitié,^A de nous-m^Dême^{D4 D}

^CQu'y a t-il de plus impor^Btant ? ^BbLa raison ou les sentim^Aents ?

O^Dsus2n ne dit jamais assez^G, aux ^Agens qu'on aime ^{D D4 D} P^Dsus2ar peur de les g^Gêner, q^Au'on les ai^Dme ^{D4 D}

Je vous ai^Dme