Louis Chedid - Anne ma soeur anne

^GmAnne, ma soeur Anne, Si j'te dis^Dmais c'que j'vois v'nir, ^D7Anne, ma soeur Anne, J'arrive pa^Cms à y croire, c'est comme un cauche^D7mar...Sale cafard ! ^GmAnne, ma soeur Anne, En écr^Dmivant ton journal du fond d'ton placard, ^D7Anne, ma soeur Anne, ^Cm7Tu pensais qu'on n'oublierait jamais, ^D7mais...Mauvaise mémoire ! ^Cm7Elle ressort de sa tan^D7ière, la nazi-nostalg^Gm7ie : ^{Gm6 Cm7}Croix gammée, bottes à cl^D7ous, et toute la panopl^Gm7ie. ^{Gm6 Cm7}Elle a pignon sur r^D7ue, des adeptes, un par^Gm7ti... ^{Gm6 Cm7}La voilà reven^D7ue, l'historique hysté^Cm7rie ! ^D7

^GmAnne, ma soeur Anne,Si j'te di^Dmsais c'que j'entends, ^D7Anne, ma soeur Anne,Les mêmes dis^Cm7cours, les mêmes slogans, Les mê^D7mes aboiements ! ^Gm7Anne, ma soeur Anne,J'aurais tant ^Dmvoulu te dire, p'tite fille martyre ^D7Anne, ma soeur Anne,Tu peux dor^Cm7mir tranquille, elle reviendra P^D7lus,La vermine ! ^Cm7Mais beaucoup d'indiffér^D7ence, de patience malven^Gm7ue ^{Gm6 Cm7}Pour ces anciens damn^D7és, beaucoup de déjà-^Gm7vu, ^{Gm6 Cm7}Beaucoup trop d'indulge^D7nce, trop de bonnes manièr^Gm7es ^{Gm6 Cm7}Pour cette nazi-nostalg^D7ie qui ressort de sa tan^Cm7ière... comme hier^D7 !

^GmAnne, ma soeur Anne, Si j'te dis^Dmais c'que j'vois v'nir, ^D7Anne, ma soeur Anne, J'arrive pas ^Cm7à y croire, c'est comme un Cauche^D7mar...Sale cafard !