Lomepal - Bécane

^AmLes yeux qui brillent, la conscience qui s'éteint, ^Amcerveau troué comme ma paire de Vans ^EmSeul au milieu du passage piéton, la^Em faucheuse me fait des appels de phares ^GLe calme intérieur, la belle face c^Ghangent tout c'que j'ai sous la chair en pierre ^DmChange la tisane de mon verre en bière, ^Dmenvie d'envoyer chier la Terre entière ^AmLa vie est une imparfaite perfection, ^Amchaque jour je subis de nouvelles pressions ^EmLe futur s'arrangera comme Urion, j^Eme disparais des caméras d'surveillance ^GDehors les miens sont traités comme des chiens, ^GMonsieur policier nous respecte pas ^DmLa nuit, possédé comme un comédien, ^Dmje m'endors à l'heure où les spectres partent ^{Am Am}Torturé, quand les pensées claquent la porte du réel ^EmPetit, c'était dur d'être torturé, ^Emc'est encore dur et ça va encore durer ^GEn silence, je presse le pas, ^Gtant de galères pour un si vieux parcours ^DmLes coincidences n'existent pas, ^Dmchaque seconde, je vois des signes partout ^AmEt puis y'a cette femme, envie de lui dire : ^Am"Grâce à nos baises, j'apprécie mieux chaque jour" ^EmPeur qu'elle s'efface, envie de lui dire, ^Emun soir avec des petits yeux d'amour ^GMême en été, j'ai peu chaud sans toi, ^Dmtout allait mieux quand on roulait sur ma Peugeot 103

Rappelle^Am-toi avant l'orage, quand la ville était ^Emcalme Tes mains autour de moi, à deux sur ma ^Gbécane, on était déjà les rois Dès le ^Dmdépart, sans freins Rappelle-^Amtoi avant l'orage, quand la ville était ^Emcalme Tes mains autour de moi, à deux sur ma ^Gbécane, on était déjà les rois Dès le ^Dmdépart ^AmBébé, serre-moi fort, ^Embébé, serre-moi fort ^GBébé, serre moins fort, ^Dmbébé, serre-moi fort Ah, ^Ambébé, serre moins fort, ^Embébé, serre moins fort ^GBébé, serre moins fort, ^Dmbébé, serre-moi fort

^AmJ'regarde son visage sur le plafond blanc, ^Amj'essaye d'oublier mais la peine est fixe ^EmRemords et regrets rien d'bénéfique, ^Emj'ai d'jà r'commencé à appeler des filles ^GAvoir la conscience du plaisir, c'est bien,^G avoir l'inconscience de souffrir, c'est mieux ^DmJ'suis jamais surpris, c'est comme si j'avais dé^Dmjà tout vu avant même d'ouvrir les yeux ^AmPourquoi c'est maintenant qu'j'ai besoin de douceur ? ^EmJ'échange des heures de sommeil contre des réponses ^GEst-c'que les docteurs savent se soigner tout seul ? ^DmElle est partie, je multiplie mes "désolé" par dix ^AmPutain, promis juré, mis à part quelques grosses paires de fesses qui me ^Ambrusquent, c'est elle qui m'excite le plus ^EmMais je l'oublie quand la foule est belle, un coup je la voulais ^Emelle, un coup je voulais les autres ^GElle m'a dit : "tu n'auras jamais ces deux choses Antoine", ^Dmtout allait mieux quand on roulait sur ma Peugeot 103

^AmRappelle-toi avant l'orage, quand la ville était ^Emcalme Tes mains autour de moi, à deux sur ma ^Gbécane, on était déjà les rois Dès le ^Dmdépart, sans freins ^AmRappelle-toi avant l'orage, quand la ville était ^Emcalme Tes mains autour de moi, à deux sur ma ^Gbécane, on était déjà les rois Dès le ^Dmdépart ^AmBébé, serre-moi fort, ^Embébé, serre-moi fort ^GBébé, serre-moi fort, ^Dmbébé, serre-moi fort ^AmBébé, serre-moi fort, ^Embébé, serre-moi fort ^GBébé, serre-moins fort, ^Dmbébé, serre-moins fort

^AmBébé, serre-moi fort, ^Embébé, serre-moi fort ^GBébé, serre-moi fort, ^Dmbébé, serre-moi fort ^AmBébé, serre-moi fort, ^Embébé, serre-moi fort ^GBébé, serre-moi fort, ^Dmbébé, serre-moi fort