Francis Cabrel - À l'aube revenant

^GÀ l'aube rev^Denant, les amants se re^Glèvent Descendent de leur ^Drêve, encore ruisse^F#mlants ^{A A}Chaque geste est urg^Gent puisque le jour se l^Dève La tempête s'ac^Ghève en murmures brûlant^Ds ^{G G}À l'aube revenant^D

Ils s'étaient perdus dans ^F#ml'obscurité prof^Gonde Là les étoiles se f^Dondent au jour appar^F#maissant^{A A}À leur pas hési^Gtant on sent la fin du m^Donde Encore une sec^Gonde... encore un ins^Dtant ^{G G}À l'aube reve^Dnant

^DLe souffle qu'on en^F#mtend, c'est deux coeurs qui s'arr^Gachent Une main se détache^D et l'autre la repre^F#mnd ^{A A}Aux yeux, l'égarem^Gent des oiseaux qu'on relâch^De Et qui cherchent où se ^Gcache le piège qu'on leur ten^Dd ^{G G}À l'aube reve^Dnant

^DAu moindre éloignem^Bment, la vie qui les oblig^Ae Le vide, le vertig^Eme et faire semblan^Ct ^{A A}Ils se couvrent de sermen^Bmts, se jurent de poursui^Avre Leur course en équilib^Emre sur les pierres des torrent^Cs ^{A A}À l'aube revenant^{D G D}

^DChacun séparémen^F#mt continuera le rêv^Ge Le seul qui les soulèv^De et les garde vivant^F#ms ^{A A}C'est éternellement^G qu'ils se croyaient soudés^D Et même l'éternité^G, pour eux c'est pas assez longtemp^Ds ^{G G}À l'aube revenant^D

^DIls étaient deux passants^F#m dans l'anonyme foule^G Dans ce fleuve qui roule^D, dans la masse des ge^F#mns ^A Ils se sont reconnus^G un peu trop tard peut-êtr^De Mais c'est se reconnaitre^G en vrai qui est importan^Dt ^{G G}A l'aube revenant^D... ^G le^Gs amants se relèvent^{D G G}Descendent de leur rêve^D... ^G encore ruisselants. ^D