Diane Tell - Si jétais un homme

^CMoi si j'^C/Bétais un ^C7/Bbhomme, je serais c^F/Aapitaine D^Gm7'un b^Cmateau,^Ebmaj7vert et b^Ablanc ^CD'une élég^C/Bance rare et ^C7/Bbplus fort que l'é^F/Abène ^Gm7Pour ^Cmles ^Ebmaj7trop mau^Abvais temps

^DmJe t'emmènerais en v^Emoyage, voir les plus beaux pays du m^Amonde Te ferais l'amour sur la p^Glage En savourant chaque sec^Cmonde, où mon c^Aborps engourdi s'e^Fmnflamme Jusqu'à s'en^Bb7dormir dans tes ^Ebmaj7bras Je suis f^Abmaj7emme, quand on est f^Gemme, on n^Ab/Fe dit pas ces choses^G4/G là ^G

^DmJe t'offrirais de be^Emaux bijoux, des fleurs pour ton appa^Amrtement Des parfums à vous rendre ^Gfou et juste à côté de Mila^Cmn Dans une vil^Able qu'on appelle ^FmBergame ^Bb7J'te f'rais cons^Ebmaj7truire une villa Je suis ^Abmaj7femme et quand on es^Gt femme on^Ab/F n'achète pas ces ch^G4/Goses la ^G

Il faut ^Cdire que les temps ^E9/Bont changé^E7 De nos j^Amours, c'est cha^Gm6cun pour ^Gm6/Csoi Ces hist^Foires d^G'amour dé^Cmmodé, n'a^Bbrrivent qu'au c^Ebmaj7inéma. On ^Abmaj7devient éco^G4nome ^G C'^Cest dommage moi j'a^E9/Burai bien ^E7aimé Un peu p^Amlus d'humour et^Gm6 de tendr^Gm6/Cesse Si les h^Fommes n^G'étaient ^Cmpas si pr^Bbessés, de prend^Ebmaj7re maîtresse ^Abmaj7Ha si j'éta^G4is un hom^Gme

J^Dme t'appellerais tous^Em les jours, rien que pour entendre t^Ama voix Je t'appellerais mon a^Gmour, Insisterai pour qu'on c^Cme voit, et t'i^Abnventerai un prog^Fmramme ^Bb7A l'allure d'un ^Ebmaj7soir de gala Je suis ^Abmaj7femme et quand on es^Gt femme, c^Ab/Fes choses la ne se f^G4/Gont pas ^G

Il^C faut dire que les ^E9/Btemps ont ^E7changé De nos j^Amours, c'est cha^Gm6cun pour ^Gm6/Csoi Ces hi^Fstoires^G d'amour ^Cmdémodé, n^Bb'arrivent qu'au^Ebmaj7 cinéma. O^Abmaj7n devient é^G4conome ^G

j^Abe serai^Bb romantiq^Ebmue ^{Db F#maj7 Bmaj7 Bb4 Bb}