Cabrel Francis - Sabriter de lorage

^AUne pâle lueur tom^Dbait d'une ^Apâle fenêtre J'avais les yeux d'une ^Dcouleur facile à reconnaître ^F#mCelle de ces wago^Ens éteints sur l^Des voies de garage Ent^Arez, dit-el^Ele et venez vous abr^Diter de l'or^Aage

^AJ'avais traversé les déb^Dris de nos nui^Ats féériques Trébuché sur nos ébou^Dlis, sur nos dégâts magnifiques ^F#mAvec encore s^Eur le front son ^Dtendre tatouage Ent^Arez, dit-el^Ele et venez vous abr^Diter de l'or^Aage

^AJe parlais du vent^D sur un lac^A et d'une voile blanche Des caresses que ses ch^Deveux recouvrent en avalanche ^F#mDu ticket pour l'^Eéternité perdu d^Dans le naufrage Ent^Arez, dit-el^Ele et venez vous abr^Diter de l'or^Aage

^AJe demandais est-c^De que plus ^Atard tout redevient solide ? Est-ce qu'on peut exist^Der longtemps suspendu dans le vide ^F#mDans ce vertige c^Eontinu, cet arrê^Dt sur image ? Ent^Arez, dit-el^Ele et venez vous abr^Diter de l'or^Aage

^AVous aurez d'autre^Ds aujourd'h^Auis, d'autres heures de peine A la longue on se recon^Dstruit sur des choses certaines ^F#mLe printemps aprè^Es l'incendie, la^D planche qui surnage Ent^Arez, dit-el^Ele et venez vous abr^Diter de l'or^Aage

^AUne pâle lueur tom^Dbait d'une ^Apâle fenêtre J'avais les yeux d'une ^Dcouleur facile à reconnaître ^F#mCelle de ces wago^Ens éteints sur l^Des voies de garage Ent^Arez, dit-el^Ele et venez vous abr^Diter de l'or^Aage