Bertrand Cantat - Amie nuit

^DPour des cœurs arrachés sur des lances sa^Anguines Et des fleurs déhanchées au nerf de guillo^Gtines Des yeux fixant l’abysme à travers des bra^Dsiers Et des ruines sublimes étendues à nos ^Apieds Les sirènes du port de la mélanco^Glie

Amie ^Bmnuit Le temps coule ^Aici Comme l'eau de ^Gpluie Amie ^Dnuit

^DLe velours abrasif, le soupir des ^Alions Les silence adhésif sous nos bouches à ques^Gtions Crépuscule à la source aboie un soleil^D rouge La robe de la grande ours va finir and^Aalouse Et le cœur puisé, d'aimer à la fo^Glie

Amie ^Bmnuit Le temps coule ^Aici Comme l'eau de ^Gpluie Amie ^Dnuit

^DHauts les carambolages Hauts les calendr^Aiers

Hauts les scaphandr^Giers On vouvoie les sommets On tutoie les a^Dbysses Dans l'ombre on ne voit pas que les photos jau^Anissent Et le monde commence à partir d'aujour^Gd'hui

Amie ^Bmnuit Le temps coule ^Aici Comme l'eau de ^Gpluie Amie ^Dnuit ^{A G}