Benjamin Biolay - Les cerfs volants

^EmÀ mesure que le temps passe, je m^Aesure le temps qui passe ^F#mEt tandis que l'eau s'étend jusqu'à l'^Bmautre bout de l'étang ^EmJe regarde l'aube claire s'allonger^A sous les conifères ^F#mÀ l'aulne, à l'orée du jour, le sole^Bmil sera de retour ^EmEn dépit des années noires, des année^As folles, des heures de gloire ^F#mÀ la lisière du torrent, j'irai ^Bmm'asseoir sur un banc ^EmOn ira faire un tour de barque, on ira ^Adéjeuner au parc ^F#mOn s'embrassera dans le cou, il y aura ^Bmtout autour de nous

"If^G you listen you can hea^Emr it call, Wa^Dil a^Bm ree (Wail a ^Dree...) ^G There is a ^Bmriver called the ^CRiver Of ^CmNo Re^Gturn..."

^EmÀ mesure que le temps passe, je m^Aesure le temps qui passe ^F#mEt tandis que l'eau s'étend jusqu'à l'a^Bmutre bout de l'étang ^EmJe regarde l'aube claire s'allonger^A sous les conifères ^F#mÀ l'aulne, à l'orée du jour, le sole^Bmil sera de retour ^EmEn dépit des années noires, des anné^Aes folles, des heures de gloire ^F#mÀ la lisière du torrent, j'irai m^Bm'asseoir sur un banc ^EmOn ira faire un tour de barque, on ira^A déjeuner au parc ^F#mOn s'embrassera dans le cou, il y aura ^Bmtout autour de nous

^EmLes cerfs-volants qui ^Aplanent ^F#mQuelques amants qui ^Bmflânent Un petit ^Bvent, des para^Emsols Plantés dans le^G sol, il y a long^Atemps.