Barbara - Madame

^Ab Je reçois, à l'ins^Bbm9tant où je^Eb7 rentre chez^Ab moi, ^Fm Votre missive ^Bbm9bleue, M^Eb7adame. Vingt ^Fmfois, je la re^Bbm7lis, et^Eb7 mes yeux n'y croient^Ab pas. Pour^Fmtant, c'est écrit ^Bb7là, M^Eb7adame ^Ab Et de votre dou^Bbm9leur, je^Eb7 me sens pén^Abétrée ^Fm Mais je ne pourrai ^Bb9rien, M^Bb7ada_ ^Eb7_me. Vous sau^Fmrez, comme ^Bbm7moi, que^Eb7 de l'avoir pe^Abrdu, C'est ^Fmlourd à suppor^Bbm9ter, M^Eb7ada_ ^Ab_me.

^Ab Vous demandez par^Bbm9don de^Eb7 n'avoir pas co^Abmpris Ce ^Fmqu'était notre a^Bbm9mour, Ma^Eb7dame. Vous n'a^Fmviez que ce ^Bbm7fils, vous^Eb7 aviez peur pour^Ab lui ^Fm Et vous l'avez gar^Bb7dé, M^Eb7adame. ^Ab Ne me demandez ^Bbm9pas ce qu'a^Eb7 été ma^Ab vie Quand ^Fmvous me l'avez ^Bb9pris, M^Bb7ada_ ^Eb7_me. Je me s^Fmuis toujours ^Bbm7tue, ce^Eb7 n'est pas aujou^Abrd'hui Que ^Fmje vous le di^Bbm9rai, M^Eb7ada_ ^Ab_me.

^A Vous eussiez préfé^Bm9ré, je vous^E7 retrouve^A là, Qu'il ^F#mfût mort en hé^Bm9ros, Ma^E7dame. Oui, ^F#mc'eût été peut-^Bm7être plus^E7 noble, je vous^A crois, Que ^F#mde mourir d'a^B7mour, M^E7adame ^A Mais qu'il soit mort i^Bm9ci ou qu'il^E7 mourût là^A-bas, Au^F#mriez-vous ver^B9sé moins de^B7 lar^E7_mes`? Il ^F#men a déci^Bm7dé, lui^E7 seul avait le^A droit. Il ^F#mfaut vous rési^Bm9gner, M^E7ada_ ^A_me.

^Ab C'est trop tard, mainte^Bbm9nant, pour^Eb7 que je vous r^Abevienne ^FmEt vous vieillir^Bbm9ez seule^Eb7, Madame Et n^Fme m'en veuille^Bbm7z pas s^Eb7i je parais cruelle ^Ab Mais^Fm je l'ai trop aimé^Bb7, Mad^Eb7ame ^AbPour qu'à la fin ^Bbm9du jour, pr^Eb7ès d'un^Abe cheminée, ^FmNous évoquions ensemb^Bb9le, Mad^Bb7ame, ^Eb7 Celui q^Fmue, vous et^Bbm7 moi, no^Eb7us avons adoré^Ab Et per^Fmdu tout ensemb^Bbm9le, Ma^Eb7dame ^Ab

^A Mais le chagrin m'é^Bm9gare, il^E7 faut me pardo^Anner. ^FmJ'ai mal de votr^Bm9e mal, ^E7Madame Mai^Fms que faire, e^Bm7t que ^E7dire, puisqu'il s'en^A est allé`? Je ^Fmne puis rien pour ^B7vous^E7, Madame. ^APour la seconde ^Bm9fois, il v^E7a nous^A séparer. ^FmJe ne reviendrai pas,^B9 Madam^B7e, ^E7 Car, le^Fm perdre deu^Bm7x fois,^E7 c'est lourd ^Aà supporter. Vous ^Fmme comprendrez^Bm9 bien^E7, M^Aadame.

^Ab Je reçois, à l'in^Bbm9stant où je^Eb7 rentre chez^Ab moi, ^FmVotre missive bl^Bbm9eue, Mad^Eb7ame. Ving^Fmt fois, je la ^Bbm7relis, ^Eb7et mes yeux n'y croie^Abnt pas. Pour^Fmtant, c'est écrit ^Bb7là, M^Eb7adame ^AbEt de votre doule^Bbm9ur, je me s^Eb7ens pén^Abétrée ^FmMais je ne puis plus ^Bb9rien, M^Bb7adame^Eb7. Vous sa^Fmvez, comme ^Bbm7moi, que^Eb7 de l'avoir pe^Abrdu C'est ^Fmlourd à suppor^Bbm9ter, M^Eb7adame^Ab...